Mieux Vivre va rester vigilante sur le devenir des friches industrielles et de la dépollution, c’est un dossier considérable et nous allons agir auprès des services de la Préfecture pour être informés de mesures prises et réagir, lorsque nous le jugerons nécessaire. La lutte n’est pas finie et les effets de la pollution antérieure vont malheureusement subsister durant de longues années. Il faudra observer l’incidence des pathologies induites par l’aluminium, les dioxines, les perturbateurs endocriniens, car l’Agence Régionale de Santé nous a toujours refusé, au nom des économies budgétaires, une étude épidémiologique, voire même une étude statistique des cas de pathologie sur le territoire des communes concernées, malgré l’avis parfois alarmiste de certains médecins, qui ne souhaitent pas s’engager publiquement.